Dans le but de toujours être le meilleur blog musical de la galaxie, voici le premier article de la nouvelle chronique Bonne fête vieille branche. Le premier jubilé est Beck avec son album Mutations paru il y a exactement 10 ans en 1998. C'est aussi en cette semaine que un de mes idoles m'a déçu pour la première fois.
Quelque chose de terrible s'est produit entre Odelay et Mutations. Beck a perdu son sens de l'humour. Ou il a vieillit. Ou l'un est la cause de l'autre. Il fut un temps ou Beck était mon héros: peu importe ce qu'il composait entre 1993 et 1996, c'était génial. Mais attention, Mutation n'est pas pourri, c'est même un très bon album. Car Beck réussira à faire pire et me décevoir encore plus avec la plupart de ses albums depuis 10 ans.
Comme d'habitude, il nous sort un album varié qui passe de la bossa nova, au country, au tropicalia, mais contrairement à Odelay, aucun sample n'est utilisé. C'est mollo, acoustique, peut-être un peu comme One Foot In The Grave, mais avec un sérieux qui casse le trip. Quand même meilleur que la plupart des choses qu'on entend a la radio.
Beck - Mutations: 81%
Moments forts: Nobody's Fault But My Own, Cancelled Check
Moment faible: O Maria.
2 comments:
Dans le fond ce que tu veux dire là, c'est qu'avec Mutations, Beck a commencé à changer?!?
WELL DUH!
:P
Sea Change est EXCELLENT !!!
Mais en général, depuis Odelay, Beck m'a souvent décu
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